STAGE CODE 5 JOURS du lundi 23 au samedi 28 décembre Examen possible le lundi 30/12 Le dernier stage d'octobre 80% de réussite en première présentation
Secourisme
Question n°01
Il faut porter le gilet de haute visibilité avant de sortir du véhicule.
Le terme » gilet jaune » peut être utilisé par le candidat
Question n°02
Le triangle de pré-signalisation doit être placé à une distance d’environ 30 m de la panne ou de l’accident, ou avant un virage, ou un sommet de côte.
Question n°03
Le triangle de pré-signalisation doit être placé à une distance d’environ 30 m de la panne ou de l’accident, ou avant un virage ou un sommet de côte.
Question n°04
En délimitant clairement et largement la zone de danger de façon visible pour protéger les victimes et éviter un sur-accident.
Question n°05
Avertir la population d’un danger imminent ou qu’un événement grave est en train de se produire.
Question n°06
Grâce aux sirènes, aux médias tels que Radio France et France Télévision ou encore grâce à l’application SAIP.
Question n°07
Il se compose de deux codes distincts :
– le Signal National d’Alerte (SNA), variation du signal sur trois cycles successifs.
– Le signal de fin d’alerte, signal continu.
Question n°08
– Se mettre en sécurité.
– S’informer grâce aux médias et sites Internet des autorités dès que leur consultation est possible.
– Respecter les consignes des autorités.
Question n°09
En indiquant le numéro de l’autoroute, le sens de circulation et le point kilométrique.
Question n°10
Pour permettre aux services de secours d’apporter les moyens adaptés aux victimes dans le délai le plus court.
Question n°11
PHOTO A CHANGER
Quelles sont les trois informations à transmettre aux services de secours ?
Le numéro de téléphone à partir duquel l’appel est émis, la nature et la localisation la plus précise du problème.
Question n°12
L’alerte doit être donnée à l’aide d’un téléphone portable ou, à défaut, d’un téléphone fixe, ou d’une borne d’appel d’urgence.
Question n°13
Uniquement lorsque notre correspondant nous invite à le faire.
Question n°14
Car il peut nous conseiller ou nous guider dans la réalisation des gestes à faire, ou ne pas faire, jusqu’à l’arrivée des secours.
Question n°15
- Le 18, numéro d’appel des sapeurs-pompiers.
- Le 15, numéro d’appel des SAMU.
- Le 112, numéro de téléphone réservé aux appels d’urgence et valide dans l’ensemble de l’Union Européenne.
Question n°16
En appuyant fortement sur l’endroit qui saigne avec les doigts ou avec la paume de la main en mettant un tissu propre sur la plaie.
Question n°17
Si la victime ne répond pas, ne réagit pas et respire.
Question n°18
A partir de 10 ans.
Question n°19
Car les lésions du cerveau, surviennent dès les premières minutes.
Question n°20
En présence d’un danger réel, immédiat, non contrôlable. Le déplacement de la victime doit rester exceptionnel.
Question n°21
L’arrêt respiratoire et l’arrêt cardiaque.
Question n°22
Dans un endroit suffisamment éloigné du danger et de ses conséquences.
Question n°23
Car elle risque un étouffement par :
– Des liquides présents dans la gorge.
– La chute de la langue en arrière.
Question n°24
Le cœur ne fonctionne plus ou fonctionne d’une façon anarchique.
Question n°25
La victime ne répond pas, ne réagit pas et ne respire pas, ou présente une respiration anormale.
Question n°26
La mort de la victime qui survient en quelques minutes.
Question n°27
Entraîner pour la victime une détresse circulatoire ou un arrêt cardiaque.
Question n°28
C’est une perte de sang prolongée qui ne s’arrête pas. Elle imbibe de sang un mouchoir en quelques secondes.
Question n°29
C’est lorsque la victime ne répond pas et ne réagit pas mais respire.
Question n°30
Regarder si le ventre et la poitrine se soulèvent et sentir de l’air à l’expiration.
Question n°31
- Lui poser des questions simples (« comment ça va ? », « vous m’entendez ? »).
- Lui secouer doucement les épaules.
- Lui prendre la main en lui demandant d’exécuter un geste simple (« serrez-moi la main »).
Question n°32
- La placer en position stable sur le côté ou position latérale de sécurité.
- Alerter les secours.
- Surveiller la respiration de la victime jusqu’à l’arrivée des secours.
Question n°33
Si un dégagement d’urgence de la victime est nécessaire, où doit-elle être déplacée ? Dans un endroit suffisamment éloigné du danger et de ses conséquences.
Question n°34
Quelles sont les conditions pour réaliser le dégagement d’urgence d’une victime en présence d’un danger réel, immédiat et non contrôlable ?
La victime doit être visible, facile à atteindre et rien ne doit gêner
son dégagement.
Il faut être sûr(e) de pouvoir réaliser le dégagement de la victime.
Question n°35
Quel comportement doit-on adopter en présence d’une victime en arrêt cardiaque ?
– ALERTER: alerter immédiatement les secours.
– MASSER: pratiquer une réanimation cardio-pulmonaire.
– DEFIBRILLER: utiliser un défibrillateur automatique (DAE) si possible.
Question n°36
L’utilisation d’un Défibrillateur Automatisé (DAE) sur une victime qui n’est pas en arrêt cardiaque présente-t-elle un risque ?
Non car le défibrillateur se déclenche uniquement quand la victime est en arrêt cardiaque.
Question n°37
Qu’est-ce qu’un défibrillateur automatisé externe (DAE) ?
C’est un appareil qui peut permettre de rétablir une activité cardiaque normale à une victime en arrêt cardiaque